Jeudi le 7 août 2003
Du 7 au 15 août 2003, neuvaine de l'Assomption au Sanctuaire Notre-Dame-du-Cap.
11:34:12 AM
Développement et Paix  participe au Programme Québec sans frontières 2003-2004  - Ce programme s’adresse, à travers ses différents volets, à de jeunes Québécoises et Québécois de 18 à 39 ans de toutes les régions du Québec et également à des jeunes de l'Afrique francophone, de l'Amérique latine et des Antilles. Ce programme vise la réalisation de stages dans les pays ou régions les moins favorisés de l'Afrique francophone, de l'Amérique latine et des Antilles et au Québec. Les stages QSF contribuent à soutenir les efforts de développement des collectivités des pays partenaires du Sud en fonction des besoins exprimés par les milieux d'accueil. Ce programme permettra à des jeunes de s’enrichir d’une expérience unique qui leur ouvrira les portes de leur avenir et du monde. Toutes les informations relatives à ces stages sont disponibles sur le site web jeunesse Générations sans frontières de Développement et Paix à l’adresse suivante : jeunesse.devp.org.
10:41:30 AM
Mgr Angelo Amato présente le nouveau document du Vatican  Il n’existe aucun fondement pour assimiler ou établir des analogies entre les unions homosexuelles et le dessein de Dieu sur le mariage et la famille. Le mariage est saint, tandis que les relations homosexuelles sont en opposition avec la loi morale naturelle et sont intrinsèquement désordonnées. ... L’Eglise respecte les hommes et les femmes avec les tendances homosexuelles et les invite à vivre selon la loi du Seigneur dans la chasteté. On doit rappeler qu’en soi l’inclination homosexuelle est objectivement désordonnée et les pratiques homosexuelles sont des péchés gravement contraires à la chasteté. ...Face à une politique de tolérance, le fidèle catholique est appelé à affirmer le caractère immoral de ce phénomène, rappelant à l’Etat de les contenir à l’intérieur des limites qui ne mettent pas en danger le tissu de la société et n’exposent pas les jeunes à une conception erronée de la sexualité et du mariage. Au contraire, face à la reconnaissance légale ou à la vraie équivalence avec le mariage hétérosexuel, c’est un devoir de s’opposer de façon claire et motivée, en revendiquant aussi le droit à l’objection de conscience. ... La droite raison ne peut justifier une loi non conforme à la loi morale naturelle: de cette façon, l’Etat manquerait à son devoir de protection d’une institution essentielle pour le bien commun, comme le mariage. Une chose est, en effet, l’union homosexuelle, en tant que phénomène privé, et une autre en revanche sa reconnaissance légale, comme modèle de vie sociale, qui dévaluerait l’institution matrimoniale et ferait perdre la perception de certaines valeurs morales fondamentales. Dans les unions homosexuelle, en outre, manquent les conditions biologiques et anthropologiques du mariage et de la famille. ... le parlementaire catholique a le devoir d’exprimer clairement et publiquement son désaccord. ... Les grandes cultures du monde ont toujours donné une grande reconnaissance institutionnelle non à l’amitié entre les personnes, mais au mariage et à la famille, en tant que condition de vie stable en faveur d’un bien commun comme la génération, la survie de la société, l’éducation et la socialisation des enfants.
8:59:40 AM
La Doctrine de la foi publie un document « doctrinal » en faveur du mariage
8:49:21 AM
Considérations à propos des projets de reconnaissance juridique des unions entre personnes homosexuelle - Le mariage n'est pas une union quelconque entre personnes humaines - Dans le dessein du Créateur, la complémentarité des sexes et la fécondité appartiennent ...à la nature même de l'institution du mariage. En outre, l'union matrimoniale entre l'homme et la femme a été élevée par le Christ à la dignité de sacrement. L'Église enseigne que le mariage chrétien est signe efficace de l'alliance du Christ et de l'Église (cf. Ep 5, 32). Ce sens chrétien du mariage, loin de diminuer la valeur profondément humaine de l'union matrimoniale entre l'homme et la femme, la confirme et la renforce (cf. Mt 19, 3-12; Mc 10, 6-9). Il n'y a aucun fondement pour assimiler ou établir des analogies, même lointaines, entre les unions homosexuelles et le dessein de Dieu sur le mariage et la famille. Le mariage est saint, alors que les relations homosexuelles contrastent avec la loi morale naturelle. Les actes homosexuels, en effet, « ferment l'acte sexuel au don de la vie. Ils ne procèdent pas d'une complémentarité affective et sexuelle véritable. Ils ne sauraient recevoir d'approbation en aucun cas ».(4) Dans l'Écriture Sainte, les relations homosexuelles « sont condamnées comme des dépravations graves... (cf. Rm 1, 24-27; 1 Cor 6, 10; 1 Tm 1, 10). Ce jugement de l'Écriture ne permet pas de conclure que tous ceux qui souffrent de cette anomalie en sont personnellement responsables, mais il confirme que les actes d'homosexualité sont intrinsèquement désordonnés ».(5) Le même jugement moral se retrouve chez beaucoup d'écrivains ecclésiastiques des premiers siècles (6) et a unanimement été accepté par la Tradition catholique. Néanmoins, selon l'enseignement de l'Église, les hommes et les femmes ayant des tendances homosexuelles « doivent être accueillis avec respect, compassion, délicatesse. À leur égard, on évitera toute marque de discrimination injuste ».(7) Ces personnes sont en outre appelées comme les autres chrétiens à vivre la chasteté.(8) Mais l'inclination homosexuelle est « objectivement désordonnée » (9) et les pratiques homosexuelles sont des « péchés gravement contraires à la chasteté ».(10) ...Étant donné les valeurs en jeu, l'État ne peut légaliser ces unions (homosexuelles) sans manquer au devoir de promouvoir et de protéger le mariage, institution essentielle au bien commun. ... La légalisation des unions homosexuelles aurait donc comme résultat l'obscurcissement de la perception de certaines valeurs morales fondamentales et la dévaluation de l'institution matrimoniale. Dans les unions homosexuelles, sont complètement absents les éléments biologiques et anthropologiques du mariage et de la famille qui pourraient fonder raisonnablement leur reconnaissance juridique. Ces unions ne sont pas en mesure d'assurer, de manière adéquate, la procréation et la survivance de l'espèce humaine. L'éventuel recours aux moyens mis à leur disposition par les découvertes récentes dans le champ de la fécondation artificielle impliquerait de graves manquements au respect de la dignité humaine (15) et ne changerait rien à cette inadéquation. Dans les unions homosexuelles, est absente aussi la dimension conjugale, par laquelle les relations sexuelles prennent une forme humaine et ordonnée. En effet, ces relations sont humaines lorsque et en tant qu'elles expriment et promeuvent l'aide mutuelle des sexes dans le mariage et restent ouvertes à la transmission de la vie. Comme le montre l'expérience, l'absence de la bipolarité sexuelle crée des obstacles à la croissance normale des enfants, éventuellement insérés au sein de ces unions, auxquels manque l'expérience de la maternité ou de la paternité. Insérer des enfants dans les unions homosexuelles au moyen de l'adoption signifie en fait leur faire violence, en ce sens qu'on profite de leur état de faiblesse pour les placer dans des milieux qui ne favorisent pas leur plein développement humain. Certes, une telle pratique serait gravement immorale et serait en contradiction ouverte avec le principe, reconnu également par la Convention internationale de l'ONU sur les droits de l'enfant, selon lequel l'intérêt supérieur, à défendre dans tous les cas, est celui de l'enfant, la partie la plus faible et sans défense. La société doit sa survivance à la famille fondée sur le mariage. La conséquence inévitable de la reconnaissance juridique des unions homosexuelles est la redéfinition du mariage tel qu'il est reconnu légalement dans son essence. Celui-ci devient une institution qui perd sa référence légale essentielle par rapport aux facteurs liés à l'hétérosexualité, comme par exemple le devoir de procréation et d'éducation. Si, du point de vue juridique, le mariage entre deux personnes de sexe différent était considéré seulement comme une des formes de mariage possible, l'idée de mariage subirait un changement radical, et ce, au détriment grave du bien commun. En mettant sur un plan analogue l'union homosexuelle, le mariage ou la famille, l'État agit arbitrairement et entre en contradiction avec ses propres devoirs. On ne peut invoquer non plus en faveur de la légalisation des unions homosexuelles le principe du respect de la non-discrimination de toute personne. En effet, la distinction entre personnes, la négation d'une reconnaissance ou d'une prestation sociale sont inacceptables seulement si elles sont contraires à la justice. Ne pas attribuer le statut social et juridique de mariage aux formes de vie qui ne sont pas et ne peuvent être matrimoniales ne s'oppose pas à la justice.(16) C'est elle -la justice- au contraire, qui l'exige. ... Même en un sens analogique lointain, les unions homosexuelles ne remplissent pas les tâches pour lesquelles le mariage et la famille méritent une reconnaissance spécifique et qualifiée. Par contre, il y a de bonnes raisons pour affirmer que de telles unions sont nuisibles pour le juste développement de la société humaine, et qu'elles lui nuiraient dans la mesure où augmenterait leur incidence effective sur le tissu social. ...L'argumentation selon laquelle la reconnaissance juridique des unions homosexuelles serait nécessaire pour éviter que des homosexuels vivant sous le même toit ne perdent, par le simple fait de leur vie ensemble, la reconnaissance effective des droits communs qu'ils ont en tant que personnes et en tant que citoyens, n'est pas vraie. En réalité, ils peuvent toujours recourir – comme tous les citoyens et sur la base de leur autonomie privée – au droit commun pour régler les questions juridiques d'intérêt réciproque. Ce serait par contre une injustice grave que de sacrifier le bien commun et le droit de la famille, pour obtenir des biens qui pourraient et devraient être protégés par des moyens non nocifs pour l'ensemble du corps social. ...Dans le cas où serait proposé, pour la première fois à l'Assemblée législative, un projet de loi favorable à la reconnaissance juridique des unions homosexuelles, le parlementaire catholique a le devoir moral d'exprimer clairement et publiquement son désaccord et de voter contre ce projet de loi. Accorder le suffrage de son vote à un texte législatif aussi nuisible pour le bien commun de la société serait un acte gravement immoral. ... L'Église enseigne que le respect envers les personnes homosexuelles ne peut en aucune façon conduire à l'approbation du comportement homosexuel ou à la reconnaissance juridique des unions homosexuelles. Le bien commun exige que les lois reconnaissent, favorisent et protègent l'union matrimoniale comme base de la famille, cellule primordiale de la société. Reconnaître légalement les unions homosexuelles ou les assimiler au mariage, signifierait non seulement approuver un comportement déviant, et par conséquent en faire un modèle dans la société actuelle, mais aussi masquer des valeurs fondamentales qui appartiennent au patrimoine commun de l'humanité. L'Église ne peut pas ne pas défendre de telles valeurs pour le bien des hommes et de toute la société.
8:47:00 AM
Lectionnaire : - Puisque vous n'avez pas eu assez de foi pour manifester ma sainteté devant les fils d'Israël, vous ne ferez pas entrer cette assemblée dans le pays que je lui donne - il tient en main les profondeurs de la terre, et les sommets des montagnes sont à lui - À partir de ce moment, Jésus le Christ commença à montrer à ses disciples qu'il lui fallait partir pour Jérusalem, souffrir beaucoup de la part des anciens, des chefs des prêtres et des scribes, être tué, et le troisième jour ressusciter. Pierre, le prenant à part, se mit à lui faire de vifs reproches : « Dieu t'en garde, Seigneur ! cela ne t'arrivera pas. » Mais lui, se retournant, dit à Pierre : « Passe derrière moi, Satan, tu es un obstacle sur ma route ; tes pensées ne sont pas celles de Dieu, mais celles des hommes. »
8:29:25 AM