Dimanche le 14 septembre 2003
Aurélie Caouette (†1905) fondatrice au Québec des Adoratrices du Précieux-Sang. Rencontres Spirituelles (RS). Sitio... (j'ai soif...).
Le 30 juin 1849, Pie IX, alors en exil à Gaëte, accepte la suggestion du Général de la Société du Précieux-Sang: étendre la fête du Précieux Sang au monde entier, s'il lui était accordé de retourner à Rome. Précisément le même jour, veille du premier dimanche de juillet, les révolutionnaires capitulent et les défenseurs du Saint-Siège prennent possession de la ville. En reconnaissance, Pie IX publie donc le décret proclamant la célébration, par l'univers entier, de la glorieuse fête de notre Rédemption. Aurélie Caouette, fille de Joseph Caouette, forgeron, et de Marguerite Olivier naît le 11 juillet 1833, mois consacré au Précieux Sang. ...Un ardent désir l'habite : attirer tous les coeurs pour les donner tous à Jésus-Christ. Son entrée dans le Tiers-Ordre dominicain, le 30 août 1854, et son admission dans la Confrérie du Précieux-Sang, le 21 mars 1858 ne suffisent pas à son insatiable besoin de prière et de pénitence. ... Le 14 septembre 1861, fête de l'Exaltation de la Sainte Croix, le désir d'Aurélie se réalise: une nouvelle famille religieuse entre dans l'existence...

Alors il le leur livra pour être crucifié. Ils prirent donc Jésus. Et il sortit, portant sa croix, et vint au lieu dit du Crâne - ce qui se dit en hébreu Golgotha - où ils le crucifièrent et avec lui deux autres : un de chaque côté et, au milieu, Jésus. Pilate rédigea aussi un écriteau et le fit placer sur la croix. Il y était écrit : " Jésus le Nazôréen, le roi des Juifs ". Cet écriteau, beaucoup de Juifs le lurent, car le lieu où Jésus fut mis en croix était proche de la ville, et c'était écrit en hébreu, en latin et en grec. Les grands prêtres des Juifs dirent à Pilate : " N'écris pas : "Le roi des Juifs", mais : "Cet homme a dit : Je suis le roi des Juifs. " " Pilate répondit : " Ce que j'ai écrit, je l'ai écrit. " Le partage des vêtements. Lorsque les soldats eurent crucifié Jésus, ils prirent ses vêtements et firent quatre parts, une part pour chaque soldat, et la tunique. Or la tunique était sans couture, tissée d'une pièce à partir du haut ; ils se dirent donc entre eux : " Ne la déchirons pas, mais tirons au sort qui l'aura " ; afin que l'Écriture fût accomplie : Ils se sont partagé mes habits, et mon vêtement, ils l'ont tiré au sort. Voilà ce que firent les soldats. Or près de la croix de Jésus se tenaient sa mère et la soeur de sa mère, Marie, femme de Clopas, et Marie de Magdala. Jésus donc voyant sa mère et, se tenant près d'elle, le disciple qu'il aimait, dit à sa mère : " Femme, voici ton fils. " Puis il dit au disciple : " Voici ta mère. " Dès cette heure-là, le disciple l'accueillit chez lui. Après quoi, sachant que désormais tout était achevé pour que l'Écriture fût parfaitement accomplie, Jésus dit : " J'ai soif. " Un vase était là, rempli de vinaigre. On mit autour d'une branche d'hysope une éponge imbibée de vinaigre et on l'approcha de sa bouche. Quand il eut pris le vinaigre, Jésus dit : " C'est achevé " et, inclinant la tête, il remit l'esprit. (Jn 19:16-30)
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