Lundi le 22 août 2011
Enfants de Medjugorje Le 15 août 2011

Chers enfants de Medjugorje, loués soient Jésus et Marie !

1.  Le 2 août 2011, Mirjana reçut son apparition mensuelle à la Croix Bleue, entourée d’une grande foule. Après l'apparition, elle nous transmit le message suivant :

« Chers enfants ! Aujourd'hui je vous invite à naître à nouveau dans la prière, et, par l'Esprit-Saint, à devenir un peuple nouveau aux côtés de mon Fils. Un peuple qui sait que, s'il perd Dieu, il se perd lui-même. Un peuple qui sait que, avec Dieu, malgré les souffrances et les épreuves, il est en sécurité et sauvé. Je vous invite à vous rassembler dans la famille de Dieu et à vous fortifier dans la force du Père. Individuellement, mes enfants, vous ne pouvez pas arrêter le mal qui désire gouverner le monde et le détruire. Mais, selon la volonté de Dieu, tous ensemble, aux côtés de mon Fils, vous pouvez tout changer et guérir le monde. Je vous invite à prier de tout votre coeur pour vos bergers, car mon Fils LES a choisis. Je vous remercie !"

Après l'apparition, Mirjana a dit que la Vierge avait appuyé fort sur le mot "LES" a choisis, en parlant de nos bergers.

2.  Puissance cachée de la prière. Une amie, Sophie, faisait ses études de médecine en France, pour devenir psychiatre, Comme étudiante, elle fit une rencontre très spéciale avec Dieu à Medjugorje, et toute sa vie s’en trouva changée, illuminée de l’intérieur.

Un jour, au cours d’un stage à l’hôpital, elle se trouva avec un nouveau professeur qui enseignait comment traiter les patients atteints de certaines maladies psychiques. Dans la pièce, il y avait deux autres étudiants. Ce professeur fit entrer un homme qui était suivi par un autre psychiatre depuis des années. Voyant que son médecin habituel n’était pas là, le patient prit peur et devint très agité. Le médecin lui expliqua qu’il remplaçait son collègue pour les vacances et il invita ce patient à converser avec lui comme avec son médecin traitant. Mais l’homme lui dit avec colère : « Je ne vous dirai rien ! ». Après avoir essayé par tous les moyens de calmer ce patient, voyant qu’il n’arrivait à rien, le psychiatre finit par lui dire : « Comme vous ne voulez pas parler avec moi, je vais doubler vos doses de médicaments ». L’homme se mit dans une colère noire, commença à insulter le médecin et à devenir violent. Sophie se dit : « Il va le tuer ! » Devant cette situation qui pouvait tourner très mal, elle eut un excellent réflexe. Elle se mit à prier dans son cœur, et récita cette magnifique prière qui évoque la Vierge comme Celle qui écrase la tête du serpent. (Voir PS1). Au fil de la prière, l’homme se calma, à la surprise de tous. Puis, se tournant vers les étudiants, il regarda Sophie et déclara : «Heureusement qu’il y a des gens qui prient ! » Puis il sortit dans la paix.

La Vierge nous dit à Medjugorje : « Chers enfants, si vous saviez la valeur de la moindre de vos prières, vous prieriez sans cesse ! »

Après son départ, le psychiatre s’adressa aux 3 étudiants et leur dit : «Vous avez vu le délire mystique ?! » (Le plus malade de tous n’était donc pas forcément le patient !). Bien sûr, Sophie ne se risqua pas à avouer qu’elle avait réellement prié, mais ce jour-là elle toucha du doigt l’incroyable puissance de la prière. Par ailleurs, ce fait marqua pour elle un sérieux tournant dans sa manière d’envisager son métier de psychiatre et sa relation avec les malades. Elle n’omet pas de prier pour eux !

En effet, tout homme a des antennes spirituelles, et souvent, ceux que nous taxons de « malades » ont une profonde sensibilité aux réalités spirituelles. L’âme de l’homme est plus profonde que les éléments physiques ou psychiques de son être. C’est pourquoi, quelque soit les blessures de son psychisme, il mérite un grand respect.
11:49:38 AM
Le Choeur grégorien de Montréal débutera ses activités en septembre 2011. Ce nouveau choeur accueillera toute personne, homme ou femme, intéressée au chant grégorien, enthousiaste, persévérante et ayant l'oreille musicale.
11:17:21 AM
Le Bienheureux Jean Soreth, Carme

Pour lui, « la fin de tout religieux et la perfection de son cœur, c’est de tendre à une oraison continuelle, ininterrompue, persévérante autant que le permet la faiblesse de l’être humain. C’est s’avancer avec effort vers l’immobile tranquillité et la pureté perpétuelle de l’âme. »

Le nouveau Général visite sans relâche (le plus souvent à pieds)  les Couvents à travers l’Europe. Sa personnalité équilibrée, sa prudence, son sens de Dieu et son sens de l’être humain demeurent le secret de son succès. Il n’impose pas, il propose, quoique dans certains cas il sache rester ferme. Il regroupe les frères qui désirent vivre une vie plus observante dans des couvents dits « réformés » espérant que peu à peu, par ce noyau, tout l’Ordre soit renouvelé. A cette fin, en 1462, il rédige de nouvelles Constitutions, assez différentes de celles de 1362 encore en vigueur. Le Chapitre général de Bruxelles les approuve la même année. Les points mis en lumière insistent sur l’office divin, le vœu de pauvreté, le silence et la solitude, la garde du couvent et de la cellule, les études, le travail et les visites des supérieurs. Il va sans dire que la réforme n’est pas acceptée partout et par tous. Mais malgré toutes les souffrances qui accompagnent sa marche, il reste « ferme dans la foi, l’espérance et la charité ». Il réussit à maintenir la réforme de manière stricte dans des couvents isolés de chaque province, et de manière moins exigeante, dans l’Ordre tout entier. Mais tous ces voyages, tous ces travaux ne lui font pas mettre en oubli son désir essentiel : l’union au Seigneur par l’oraison.

Il y a aussi des femmes,  isolées ou en groupes, qui vivent de l’Esprit du Carmel. Un peu partout en Europe, au Moyen Age, on rencontre, adossées à des églises ou à des couvents, des maisonnettes, dans lesquelles s’enferment des recluses qui désirent servir Dieu dans la solitude et la prière.

En France, en Angleterre et en Flandres, des recluses se mettent sous la direction des Carmes. Elles reçoivent l’habit de l’Ordre et suivent la Règle du Carmel.  D’autres femmes vivent dans le monde une vie consacrée à Dieu, sous la conduite des pres de l’Ordre, soit isolément, soit réunies en communauté : les béates en Espagne, les béguines aux Pays-Bas.

En 1452, une communauté de béguines demande à Jean Soreth, alors Prieur général du Carmel, son affiliation à l’Ordre. C’est le premier monastère de Carmélites, qui devient le premier maillon du « second Ordre du Carmel ». Le Bienheureux Jean Soreth rédige les premières Constitutions des Carmélites.

« Apprends du Christ lui-même comment tu dois l’aimer. »

« Que le Seigneur Jésus Christ soit pour ton cœur amour et tendresse. »

« Aimer de tout son cœur, c’est ne pas être accessible à la flatterie ; aimer de toute son âme, c’est ne pas être égaré par les manœuvres trompeuses ; aimer de toutes ses forces, c’est ne pas être brisé par l’injustice. »

« Dieu est sagesse et il veut être aimé non seulement avec douceur, mais aussi avec sagesse. »
11:09:58 AM